C’est l’histoire d’une meuf qui, depuis toujours, avait un penchant pour un gars de sa classe. Cela faisait des années qu’elle était dans les même cours que celui-ci mais n’a jamais réussi à trouver le courage pour lui demander de sortir avec lui. Il faut préciser que Julie, qui est son prénom, avait beaucoup de mal à communiquer avec les autre due à une certaine pudeur vis-à-vis d’un problème d’estomac qu’elle avait depuis la petite enfance. Un jour, alors que tout le monde déjeunait comme d’habitude dans la salle à manger du collège, Julie parvient enfin à accumuler suffisamment de courage pour s’asseoir à sa table et engager une conversation. « Ah salut Julie, c’est cool que tu t’es enfin décidé à m’adresser la parole », m’a-t-il répondu. Elle rougit sur le coup, tellement elle était soulagée de ne pas s’être fait rejeter. Ils entamèrent une longue conversation passionnante sur tout ce qui leur passait par la tête et au bout d’une demi-heure, elle avait déjà l’impression de tout connaitre sur lui. Ils étaient sur le point de s’en aller et juste au moment de lui embrasser amicalement pour lui dire au revoir qu’elle lâcha un rot sonore qui alla jusqu’aux oreilles d’une dizaine de personnes autour d’eux. Le pire c’est qu’elle l’a fait en plein visage. Le mec le regarda d’un air dégouté et même après les maintes excuses qu’elle lui a fait, avouant qu’elle ne supportait pas les boissons gazeuses, elle ne réussit toujours pas à changer son expression de dégout. Elle fut si couverte de honte ce jour la qu’elle décida de ne plus jamais lui adresser la parole et d’abandonner son rêve qu’est de sortir avec lui.

L’été dernier, pendant les vacances, moi et quelques amis sommes allés passer une journée dans un grand parc aquatique. Tout se passait à merveille et nous nous amusions énormément lorsque je décidai de tenter le toboggan le plus fréquenté des garçons, car rare fut les filles qui voulaient l’essayer car qu’il était trop en pente, avec plein de virages. Je pris mon courage à deux mains et je suis descendu la tête la première. Le seul problème fut qu’en cours de route, je descendais à si vive allure que je perdis mon maillot de bain. Quand je suis arrivé en bas, je n’osais plus sortir de la piscine et du patienter une bonne demi-heure avant qu’une de mes amis me retrouve, grelotant de froid.