On ne plaisante pas avec des soeurs

Blague, Vengeance No Comments »

OK, c’est arrivé il ya si longtemps que je ne me souviens même pas de ce que ce mec nous a fait à ma sœur et moi.
Cette blague a nécessité un certain scoutisme. Il nous a fallu chercher un truc qui n’est pas facilement accessible. Tout d’abord, un petit tour à la superette du coin pour l’achat d’un collier et une laisse. Puis nous avons commencé la mission, la conduite sur les rues, routes, autoroutes pendants des heures jusqu’à ce que nous trouvions ce que nous recherchions. Je suis sûr que vous l’avez deviné maintenant que ce que nous cherchions était un animal accidenté, un chien plus précisément.

Eh bien, quand nous en avons finalement trouvé un, (en nous assurant qu’il n’était pas trop amoché, bien sûr), il était au milieu d’une route animé. Alors, on s’est garer sur le côté de la route, avons sorti la poubelle et nous sommes préparé à affronter le trafic. C’était notre jour de chance, car pendant que nous nous tenions là, à nous demander qui ferai le sale boulot (Berck!), Qui s’est pointé derrière nous, un policier. Il se trouve être un homme assez imposant et le temps qu’il sorte de sa voiture et marche jusqu’à la nôtre, nous avions déjà préparé notre petite histoire. Il demande si nous avons besoin d’aide, et affichant de mines de chiens battus, on lui dit que c’est notre chien Bimbo qui a été tué et qu’on voulait le ramener à la maison pour l’enterrer. Vous savez, il ya des moments où vous êtes vraiment content d’avoir affaire à la police et il s’avéré que c’était l’un de ces moments. Il moins de temps qu’il ne le fallait pour le dire le chien était déjà emballé, dans un sac dans le coffre de la voiture (j’adore être une fille).

Prochaine étape, trouver quelqu’un qui serait prêt à mettre le collier et la laisse sur le pauvre chien. (Nous avions quelques amis à l’époque qui étaient plus fou que nous, alors ce ne fut pas un problème.) Et enfin, aux alentours de 3h00 du matin, nous rendons visite à notre ami. Nous avons attaché la laisse autour de l’axe sur le pare-chocs. Ensuite avons équilibré le chien mort sur l’essieu de façon à ce qu’il ne tombe pas jusqu’à ce que notre « ami » ai fait au moins un kilomètre ou deux.

Le mec finit par ressembler à un vrai connard conduisant sur la rue principale, en trainant la carcasse de Fido, peut-être même qu’il attire l’attention d’un policier ou d’un protecteur des animaux, peut-être a-t-il écopé d’une amende pour cruauté envers les animaux. Quant à notre ami, je ne peux pas dire que je sais ce qui lui est arrivé, à ce moment-là nous étions dans notre lit.

Histoire de Fou !

Famille, Relation No Comments »

C’est une petite anecdote que m’a raconté mon père, qui est le directeur d’une hôpital psychiatrique. Un jour, alors qu’il rendait une visite habituelle au nouvel arrivage, il en rencontra un mec qui avait l’air tout à fait normal, sans aucune maladie visible physiquement ou psychologiquement. Il s’approcha de lui et lui demanda : « Alors jeune homme, pourquoi êtes vous parmi nous ? Quelles peuvent être les raisons de votre séjour dans un tel endroit ? »
« Ah monsieur, c’est une longue histoire… », lui répondu le gars en question. « Tout a commencé le jour ou je me suis marié… Ah la grande erreur ! J’ai épousé une veuve ayant une fille de 25 ans qui est ainsi devenu ma belle-fille. Tout allait bien jusqu’au jours ou mon père nous rendit visite, faisant la connaissance de ma belle-fille. Pouvez-vous croire qu’il tomba amoureux d’elle ?! Pas très longtemps plus tard, mon père et ma belle-fille ont décidé de se marier. Imaginez l’embarras que cela était pour moi. Peu de temps se passa lorsque j’eus la nouvelle que ma femme était enceinte d’un fils, devenant évidemment le beau-frère de mon père car il est le demi-frère de ma belle-fille, qui d’ailleurs est la femme de mon père (et donc ma belle-mère). Cela ne se termine pas ici ! Maintenant, mon jeune fils est du coup devenu le demi-frère de ma belle-mère, il peut donc être considéré comme mon oncle… Quant à ma femme, elle devient ma belle-grand-mère puisqu’elle est en fait la mère de ma belle-mère… Ah et il ne faut pas oublier, ma belle-mère est aussi ma belle-fille… De ce fait, si on cherche encore plus profondément dans l’histoire, on voit que je suis l’époux de ma belle-mère, ce qui veut dire que je suis non seulement le petit-fils de ma femme, son mari, mais aussi mon propre grand-père… J’espère que vous comprenez maintenant pourquoi on m’a emmener ici ? »

Fou en liberté

Bétise No Comments »

L’histoire se produit un vendredi soir pluvieux. Nous étions, moi et ma copine, Sarah, dans la voiture en direction d’un hôtel la plus proche afin de passer la nuit lorsque nous entendîmes à la radio qu’un homme d’une trentaine d’années c’est échappé d’un asile de fou non loin de là où nous étions. Sur le coup, cela nous a inquiété et nous pensions à toute sorte d’idée malsain de ce qui pourrait nous arriver si jamais nous croisions la route de ce dernier. Cela ne nous prit pas longtemps pour le découvrir. En effet, à un moment, lorsque nous avions décidé de faire une halte à une station d’essence, histoire de faire le plein et de manger un morceau. A peine sommes nous sorti de notre voiture et nous approchions du restaurent que nous aperçûmes la silhouette d’une personne qui s’approchait de nous à toute vitesse. « Tu crois que c’est le fou en question ? », me demanda Sarah. Elle eut réponse à sa question lorsque, à force de s’approcher de la lumière, nous remarquâmes qu’il ne portait qu’un sous-vêtement blanc et faisant de grands gestes des mains. Cela nous paniqua et sur le coup, nous pensions n’avoir qu’un seul choix de réaction. Nous nous sommes rués jusqu’à la voiture et alors que je démarrais sur les chapeaux de roue, ma copine téléphonait à la gendarmerie de la région, les informant l’emplacement du fou. Mon cœur battait si fort due à l’adrénaline que j’accélérais sans vraiment regarder la route, tentant seulement de m’éloigner le plus possible du fou, qui pouvait être dangereux ou encore même violent. Toutefois, la panique me faisait rouler trop vite, de telle qu’un policier m’obligea à me garer au bord de l’autoroute. Ce dernier avait un air bizarre, même sa façon de s’exprimer sonnait étrange, km s’il ne savait pas vraiment ce qu’il disait. Il bafouillât un long moments avant de lâcher de long phrases incompréhensible. Ce fut alors que je réalisai notre erreur. En effet, le fou avait sans aucun doute volé les vêtement d’un policier, avec toutes ces effets personnels, rien que pour voir comment s’était que de contrôler le flot des voitures. Il gribouillait sur un morceau de papier comme pour nous donner une contravention. Nous étions stupéfaits et ne savions plus quoi penser. Heureusement, il n’avait pas l’air d’être quelqu’un de méchant ni de violent. Cela nous faisait de la peine de le voir dans cet état…

L’homme au Crochet

Bétise No Comments »

C’est l’histoire d’un couple qui s’est mit en route pour visiter la mère de la femme, qui était gravement malade et nécessitait un peu de soutient de la part de sa famille. Il leurs restait encore quelques heures de route à suivre et du coup, ils avaient décidé de dîner dans un petit resto au bord de l’autoroute. Tout se passait bien lorsqu’ils apprirent la nouvelle à travers la radio qu’un fou dangereux s’est échappé d’un asile, non loin d’ou ils se trouvaient. D’après le présentateur de l’information, il se reconnaît par un crochet qu’il porte à la place de sa main droite. Rien qu’en y pensant, ils avaient déjà peur de tomber malencontreusement sur cet individu, définie par le média comme dangereux. Alors que cette crainte augmentait à chaque moment passé dans cet endroit, ils décidèrent de continuer leur route le plus tôt possible. Arrivé à leur voiture, ils se rendent compte qu’un crochet pendait sur la portière du conducteur. Pris de panique, ils scrutèrent les environs de quelques vifs coups d’œil mais n’ont rien aperçus. « Il a sûrement essayé de forcer la serrure, » pensa l’homme devant la vision de celle-ci complètement défoncé par le crochet. « L’important est qu’il n’y a pas eu de blessés, » dit-il à sa femme pour le rassurer. Ils se sont ainsi mis en route, malgré un énorme trou dans la portière, et s’apprêtait à sortir de la voiture pour pénétrer la maison de ces parents lorsque le coffre arrière s’ouvra brusquement, révélant un homme barbu levant les bras et s’écriant « Youpi ! J’ai dépassé la frontière ! » Toutefois, sous l’excitation, il a fait un bond de joie mais se fracassa la tête contre la portière du coffre et tomba lourdement au sol, inconscient due au choque. « Eh bien, » dit sa femme, « j’espère qu’il y aura une récompense pour la capture d’un fou vraiment idiot ! »

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