Le concours

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C’était il y a assez longtemps, je n’avais que 15 ans (j’en ai 16) . C’était un jour d’été ordinaire, nous mourrions d’ennui avec mon cousin. Soudainement nous avions eut l’idée assez débile je l’avoue de faire un sorte de concours. Nous devions boire un litre d’eau chacun et nous retenir longtemps (6 heures) avant de passer des « tests » pour voir qui allait se retenir le plus longtemps. Mes cousines avaient accepté de participer au jury.
Mon cousin bu le premier le litre d’eau, ce fut après à mon tour. J’avais une soif immense et je bus tout d’un trait. J’avais le ventre un peu ballonné. Environ une heure après mon cousin eut une envie pressante mais pour ma part je n’eut aucune pression sur ma vessie. Je le narguais mais mon petit manège s’arrête une heure après car cette fois l’eau se faisait ressentir. Nos parents n’étant pas là, ils ne pouvaient s’avoir ce que nous maniagancions. Ils ne nous restait que 4 heures à tenir. Mais nous dûmes raccourcir le temps car nous avions peur que nous parents reviennent trop vite ! Nous nous retenions depuis environ 3h30 quand le concours commença. Mon cousin commença. Il y avait 10 niveaux. .Le premier était assez … simple il consistait à renverser de l’eau dans un verre pour faire une cascade. Mon cousin le réussit. Le deuxième lui était de lui raconter une blague tordante. Il réussit mais avec plus de difficultés. Le troisième était les chatouilles… Il eut du mal. Mais soudainement mes cousines (de 2 ans mes aînées) eurent l’idée de le mettre en slip pour voir quand il allait vraiment se mouiller (avec un jean c’est dur de voir :s).
C’est à la 4eme partie que cela devenait dur. Il dû s’allonger. Mes cousines firent une pression douce (pas trop mais assez quand même) sur sa vessie. Une sorte de massage. Le visage de mon cousin devint aussi blanc que son tee-shirt. Son slip rouge devint un peu plus foncé et je m’écriai « il lâche !! Il lâche !! » Mais après mes paroles plus rien. Suivie une série d’examens impitoyables. C’est au 9eme qu’il lâcha ! Il devait boire un verre, écarté les jambes et subirent une série de guillis impitoyables et avoir comme atmosphère les chutes du niagara. La pression sur sa vessie fut forte et son slip devint rouge foncé rapidement. Son visage aussi. Je m’écriai « Il lâche ! Il lâche ! » Il répondit : « Pas du tout » Il se leva, mis ses mains dans son entrejambe pour se retenir. Mais il ne pouvait pas. On s’en délectait de plaisir. Son slip commençait délicatement à se tremper, ses jambes secs devinrent humides. Je lui dis « grouille c’est mon tour » Il nous supplia de l’accompagner aux chiottes. Mais nous refusions. Il soupira et essaya de se cacher. Mais nous le tenions à bout de bras. Son pipi avait cessé. Pour voir si il avait tout lâché nous appuyâmes sur sa vessie avec une telle force que tous le sol en fut trempé. Il fut rouge de honte et nous rimes ! Il fut fâché et il me fit « Ah toi ! »
Je m’assieds et à la 9eme épreuve (je passe des épreuves) je tint. J’était pourtant aussi en souss vêtements violets clairs mais rien n’avait lâché. Je lui dis : J’ai gagné. Mes cousines me firent oui mais tu dois tout de même lâcher devant lui c’est la règle désolée. Je dis : Mais non c’est pas possible ! Elle me dit que si. Je devint rouge, je savais que je n’allais pas tenir longtemps. Mes cousines m’effectuèrent des pressions suprêmes. Puis je dis : j’ai faim. Elles me laissèrent aller dans la cuisine. Je pris un gâteau et en me retournant elle me firent « Bouuh ! ». Et je ne sais ce qu’il m’a pris. J’ai tout lâché mon cousin me faisait des guillis comme pas possible ma culotte violette n’était plus ce qu’elle était. Les parents sont arrivés. Je me suis retenus. Ils me demandèrent : Que se passe t’il. Nous eûmes si peur avec mes cousines, moi et mon cousin que nous nous pissèrent dessus (mon cousin n’avait pas fini sa réserve). Je sentais mon entrejambe se mouiller je vis celle de mon cousin déjà mouillée dégouliné et l’entrejambe de mes cousines formées une auréole immense. La pisse dégoulinait le long de mes jambes nues et une flaque apparut entre nos cuisses. Mon cousin mettait sa main devant son slip mais cela rendait le spectacle encore plus hilarant il se retenait mais ne pouvait pas. Mes cousines elles aussi voulaient participer au concours paraît il et cela se faisait ressentir. Leurs jeans furent mouillés et nos culottes trempées. Nos parents rirent. Nous eurent honte … Très honte

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