C’est ce qui est arrivé à mon meilleur pote. Julien est du genre infidèle, un marie couche toi là version male. Un jour il à rencontré Karine, ils ont commencé par avoir une petite aventure puis les choses devenant sérieuse Julien a décidé de quitter sa femme pour se consacrer entièrement a Karine. Sa femme qui bien sure ne savait rien de ses petites affaires tomba des nues quand il lui annonça qu’il voulait divorcer. Malheureusement pout Julien, Diane n’était pas le genre de femme qu’on quitte comme sa sans explication. Diane a menée sa petite enquête et a découvert le pot aux roses, elle s’est arrangée pour amener Julien à passer ‘une dernière nuit’ avec elle. Comme elle avait un petit studio en ville ils ont convenus de se retrouver là-bas. Apres leurs étreintes sous la couette Julien est allé dans la salle de bain. Diane a pris toutes les serviettes, les draps et tout ce que Julien aurait pu utiliser pour se couvrir, sans oublier les vêtements de ce dernier et son portable. Elle a attendu que Julien sorte de la salle de bain pour lui dire. ‘Tu aurais dut garder ton pantalon mon chou’. Elle a ensuite appelé Karine depuis le portable de Julien pour porter le coup finale. Karine a dut aller chercher Julien au studio, nul besoin de dire que celui-ci a dut fournir une explication valable à toute cette histoire. Diane envoi toute les semaines un vêtement de Julien a Karine, elle a déjà envoyé le caleçon, la chemise, le pantalon, et la semaine prochaine en enverra la montre cassé de Julien…

« Je suis sure que t’as pas les couilles pour le faire ! »
C’est ainsi que l’un de mes proches amis s’y prenait pour me défier d’accomplir un acte nécessitant une forte dose de courage. Je m’appliquais rarement à ce genre de challenge, surtout que je ne gagnais rien en retour. Toutefois, pour une fois, il me persuada à le faire, me rassurant que j’aurais droit à une prime si je réussi à accomplir ce qu’il me disait de faire. Après un instant d’hésitation, je me suis mis en action, tête baisser, sans me soucier des conséquences. Suivant les consignes de mon ami, je me suis approché d’une jeune femme, d’une vingtaine d’année environs. Elle était habillé en tenue de soirée, mais portait un soutient gorge qui ne lui allait pas du tout car l’arrière de la robe était faite de manière à dévoiler le dos nu. J’avais justement appris une technique à travers une vidéo visualisée à travers le net sur comment dégrafer un soutient gorge en seulement quelques mouvements de doigt. Cela n’a pris qu’une fraction de seconde pour que celui-ci se désagrafe. La femme n’avait au début pas réalisé alors que le soutif sortait peu à peu hors de sa robe. Ce n’est qu’ensuite qu’elle découvrit qu’elle a été victime de cette mauvaise blague. Malheureusement pour moi, j’avais pris un peu trop de temps avant de me décider à me cacher. Alors que mon ami observait toute la scène en riant au bord des larmes, je me suis pris une gifle énorme qui résonna dans la tête. Quelques secondes plus tard, j’eus à peine le temps de m’enfuir qu’un homme costaud, gonflé de tous les muscles, déboula vers moi et me donna un coup de poing en plein visage, me propulsant au sol. J’avais maintenant le nez cassé, qui saignait abondamment, alors que le jeune couple s’en alla d’un air satisfait, comme si j’avais eu ce que je méritais. A mon avis, j’en ai eu même trop…

Une fois, dans une brasserie, alors que je buvais un coup en attendant quelques amis, j’aperçus une scène des plus hilarantes se produire devant mon nez. En effet, à un moment, une femme s’était approchée du bar, non loin de là ou je m’asseyais, et interpella le barman. Elle lui fit signe de s’approcher. Lorsqu’il était en face d’elle, avec seul le bar qui les séparait, cela ne la satisfaisait toujours pas et fit d’un signe de main assez séduisant de s’approcher de plus belle. Le mec se pencha, alors que la femme fit de même. Elle n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de son visage et commença à lui caresser la barbe avec douceur.

« Etes-vous le gérant ? » dit-elle en lui caressant avec sensualité le visage avec une main.
« Euh.. Non, pourquoi ? » répondit le barman.
« J’ai besoin de lui parler… Pouvez-vous me l’appeler, s’il-vous plait ? » demanda la femme en glissant l’autre main dans les cheveux de ce dernier. Ça se voyait que ça plaisait au barman. Il prenait son pied à se faire tripoter par une si jolie femme.
« J’ai bien peur que non, désolé ! »
« Puis-je au moins vous demander un petit service ? » demanda la jeune femme en passant ses doigts le long des lèvres du barman.
« Bien sur », répondit-il en se laissant glisser un doigt dans la bouche. Il le suça légèrement alors que la femme s’apprêtait à mettre un autre doigt.
« Dites-lui qu’il n’y a plus de papier ni de savonnette dans les toilettes des femmes… »

Samedi dernier, je faisais quelques courses en ville, lorsque je me suis arrêté à une intersection dans l’attente que la lumière soit à nouveau verte. Mon esprit était ailleurs lorsque je m’aperçu que le camion sur le coin opposé de la rue ne faisait pas le virage, alors qu’il avait la possibilité de le faire et que les lumières le permettait.
Je n’ai pas prêté beaucoup attention à ce qui se découlait jusqu’à ce que je vis le conducteur sortir de la voiture et se rua vers l’arrière de sa voiture. « Il a dut être à cour d’essence celui la », me suis-je dit sur le coup. Cela avant que je le vis lancer une bouteille de jus au véhicule derrière lui, envoyant un jet de liquide rouge contre le pare-brise. Il continua à insulter le conducteur de tous les noms avant de retourner à nouveau dans son camion quelques instants plus tard.
« Eh bien, c’est intéressant », me suis-je dit. Mais ce n’était pas tout. Le véhicule couvert de jus se mit à reculer. Je pensais évidemment qu’il n’allait qu’éviter le petit camion qui bloquait le passage, alors je ne pris pas attention. Sauf qu’il ne la pas évité. Au lieu de cela, il lui a foncé dessus, se percutant violemment contre le premier véhicule.
Ils avaient toute mon attention à ce moment la. J’avais complètement oublié le feu vert et les regardais à présent sortir des véhicules, tous deux commençant une bagarre incessant au beau milieu de l’autoroute. Le combat était devenu tellement violent que je décidais d’appeler le 911. Je dus suivre l’un d’eux afin de noter leur plaque d’immatriculation.

« Il t’a vraiment dit sa ? Comment ose t-il !» J’étais vraiment pris d’une fureur incontrôlable lorsque ma meilleure amie me racontait toutes les insanités que lui a dites mon copain sur moi. Sur le coup, je croyais absolument tout ce qu’elle affirmait sans me poser la moindre question sur si ce qu’elle disait était vrai. J’ai téléphoné à mon copain et lui ai dit que tout était terminé entre nous et raccrocha aussitôt. Toujours dans ma haine, je pensais que toute cette histoire était définitivement terminée mais, alors que je me promenais sur une ruelle, proche de la maison de mon ex, je l’aperçus embrassant langoureusement et avec passion ma meilleure amie. Lorsqu’elle me vit, elle était devenue toute rouge de honte alors que sa nouvelle conquête ne savait plus où mettre la tête. Voyant que je restais pétrifier sur place due à la stupeur, elle s’approcha de moi d’un air hésitant. Ce qu’elle ne se doutait pas c’est que je bouillonnais de rage à l’intérieure de moi-même. A peine eut-elle dit le moindre mot que je lui enfilai un coup de poing en plein visage et m’en alla sans regarder en arrière. J’avais une goutte de sang sur mon poing, qui faisait atrocement mal d’ailleurs. Je ne ressentais toutefois aucune culpabilité car pour moi, elle le méritait !

Des fois, il arrive que lorsque je conduis, les gens autour de moi m’énerve dut a la façon dont ils se comportent. En effet, cela ne fait pas trop longtemps que je viens de m’approprier mon permis et j’essayais de faire le plus attention possible de ma conduite mais les gens ne respectaient vraiment rien. Ils passaient leurs temps à griller les priorités et à ne pas faire attention aux panneaux rien que pour ne pas avoir à ralentir. Du coup, lorsqu’une voiture l’autre jour voulu me dépasser alors qu’il n’avait pas le droit, j’étais brusquement pris d’une rage fougueux et tenta le l’en empêcher en venant sur son chemin. Ce changement soudain de ma trajectoire le désorienta complètement de telle sorte à ce que la personne perdit contrôle de sa propre voiture et termina sa course dans un buisson, au bord de la route. Cela aurait pu être plus grave que ça mais j’étais tellement pris de colère que je continuai ma route sans me soucier de son sort. Quand on y pense, c’est peut-être moi qui suis irrespectueux, au lieu de tout le temps accuser les autres…

Depuis toute petite, j’avais toujours eu une sainte horreur des insectes, je les haïssais et rien que d’y penser, cela me donnait la chaire de poule. Dans ma tête, comme elles étaient petites, j’avais toujours la certitude qu’elles pouvaient se faufiler n’ importe où ! Du coup, connaissant ma crainte de ces petits monstres, mon petit frère a voulu me faire une blague qu’il croyait sans conséquence. Il déposa discrètement un cafard en plastic sur ma tête. Evidemment, croyant que c’était un vrai, je me suis mis à hurler à tue-tête en essayant d’enlever l’objet de la tête. J’étais tellement dans un état de panique que je donnais des coups de poings sur tout ce qui était autour de moi. Mon frère malencontreusement en reçut une, ce qui lui brisa une dent. Après tout, il l’avait bien cherché…

Lors du voyage en voiture du travail, il m’est arrivé une drôle de mésaventure avec un autre conducteur. Alors que je roulais à la vitesse limite, je me suis mis à doubler un camion. Etrangement, tout de suite après, il se colla derrière moi et tenta de me dépasser à son tour. Il continuait sur sa file pour me doubler mais n’y arrivait pas et ne gagnais pas 1 cm de plus. Il se rabat et me colla toujours. Le camion fit la même chose une deuxième fois, puis une troisième, mais ne parvenait toujours pas. Ce fut très étrange car le mec aurait du comprendre que ca ne servait à rien car j’étais à une vitesse plus grande que la sienne sans avoir à accélérer. Je n’allais tout de même pas ralentir pour qu’il me double et ensuite me retrouver derrière lui comme un idiot. Soudain, le camion commença à klaxonner longuement à plusieurs reprises comme un fou furieux. J’en avais marre de son agissement, alors je pris un autre chemin sans qu’il n’ait le temps de réagir et sortis de l’autoroute. Je n’arrivais toutefois pas à deviner son intention.

Lorsque j’eus appris la tromperie que m’a faite mon mari avec sa collègue de bureau, je fus de si mauvaise humeur et étais tellement rempli de haine que j’avais des envies de vengeance. Je décidai de lui rendre la monnaie de sa pièce avant de définitivement le plaquer ! J’y suis allé à la cuisine et lui a préparé un plat entièrement faite à base de nourriture pour chien. Celui-ci ne s’est rendu compte de rien et à même apprécier le repas avec appétit. Le lendemain, je comptai lui mettre la honte devant tous ces collègues de boulot en lui hurlant dessus et lui injuriant pour cette tromperie.

L’histoire se produisit une soirée c’était à la fin de l’hiver. Nous étions moins d’une dizaine d’amis à avoir organisé une petite randonné en pleine forêt et comme par hasard cela coïncidait au jour du premier Avril. Etant donné que mes amis m’ont fait une mauvaise blague l’an dernier, j’avais déjà tout préparé pour que cette fois-ci ce soit moi qui ai le dernier mot. Pour que l’aventure se déroule correctement sans devoir transporter d’énormes bagages, nous avions décidé à la dernière minute d’utiliser une seule tente de camping suffisamment grande pour nous tous. Le soir du premier avril, alors que tout le monde dormait, je me suis faufilé silencieusement hors de la tente, j’ai retiré une bouteille contenant une concoction fait maison, dont le principal ingrédient était de l’ammoniaque. J’ai ouvert la bouteille et j’ai envoyé dans un coin à l’intérieure de la tente, ce qui spontanément agissait tel une boule puante. L’odeur était si nauséabonde qu’il réveilla tout le monde d’un trait. « POISSON D’AVRIL ! », hurlais-je alors que tout le monde évacuait la tente afin de respirer l’air frais du dehors. Je n’avais oublié qu’un seul détail à tout cela, nous dormions tous dans la même tente… Ils nous ont tous fallut dormir à la belle étoile, sous le regard coléreux de mes amis.